La question des privilèges s’inscrit également dans les moyens que l’État met en place pour réprimer certaines catégories de la population. Les violences policières sont un fait et grâce à la technologie, les personnes qui en sont victimes peuvent de plus en plus souvent le prouver. Pourtant, peu de policier·e·s sont jugé·e·s et condamné·e·s. Les témoignages et les études à ce sujet montrent que les violences policières se font souvent sur des groupes cibles, à savoir des personnes victimes de racisme et/ou des personnes en situation de précarité financière.