Aborder la femme par l’angle de la muse, c’est partir de l’image de la femme inspiratrice, bel objet de contemplation. Ce qui est moins mis en évidence, c’est la passivité de l’état de muse, sa potentielle érotisation, et certainement le symbole de la condition de la femme prisonnière du regard. Ce regard de l’homme qui l’enferme dans un rôle de potiche, d’objet de désir, d’idéal féminin, mais jamais comme son égal.